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Mais il n'est pas seul. Et si vous contestez le président du Conseil constitutionnel, vous risquez de fustiger tout le monde, notamment des gens qui ont été unanimement reconnus comme de très grands parlementaires.
Au fond, ce « 50-50 » a du sens dans une démocratie ; c'est un bon principe républicain.
Dire que la moitié au plus de notre richesse peut aller à l'impôt de solidarité constitue un bon principe républicain, un bon principe de justice, un principe d'équité.
Grâce au bouclier fiscal, les personnes imposées à 50 % pourront se dire qu'à partir du 183e jour de l'année, l'argent qu'elles gagnent leur revient. Ne me dites pas que c'est un mauvais principe !
En tout état de cause, cette question n'est pas l'objet du collectif budgétaire qui nous occupe aujourd'hui. J'espère que la suite de la discussion sera plus constructive. J'aurais aimé que le groupe socialiste reconnaisse que, pour la deuxième fois de l'année, le Gouvernement dit toute la vérité sur les chiffres de l'économie française. J'aur...
Ces mesures sont attendues par les Français. Ils en ont besoin parce que la crise économique les frappe durement. Ils sont très sensibles à la suppression des deux derniers tiers provisionnels de l'impôt pour les contribuables de la première tranche. Et que n'ai-je entendu sur le pacte automobile ou la baisse de la TVA à 5,5 % dans la restaura...
Voilà, de plus, une promesse qui a été tenue, de même qu'a été tenue la promesse qui consistait à plafonner le taux d'imposition,
et je ne vois pas pourquoi ce qui fut une bonne mesure il y a deux ans ne le serait plus aujourd'hui.
Voilà pourquoi, mes chers collègues du groupe SRC, vos arguments ne sont pas recevables. Vous avez parlé de tout, à l'exception des mesures essentielles que contient ce collectif budgétaire. Mais personne n'est dupe quant à la motivation de votre discours : en vérité, vous faites de la démagogie en raison des mouvements sociaux de demain. De g...
Puisque je suis mis en cause, je tiens à préciser que j'étais, au moment de l'examen de ces amendements qui, fait inhabituel, a débuté à l'heure dans les couloirs de l'Assemblée pour faire venir mes collègues du groupe UMP. Certes, deux députés de la majorité se sont exprimés en faveur des amendements. Toutefois, ces amendements étaient opp...
En nombre extrêmement restreint.
Je me réjouis que notre réunion se tienne hors la présence de la presse car cela permettra peut-être une expression plus directe de nos différents points de vue. Ce collectif apporte des réponses concrètes à une crise sur laquelle le Gouvernement a fait preuve d'une totale transparence. Je note, à ce propos, combien il est rare que les estimat...
Je me suis rendu à Berlin et à Londres au mois de janvier afin d'étudier comment l'Allemagne et le Royaume-Uni avaient construit leurs plans de relance, dans le contexte des discussions que nous avons eues sur la méthode de relance, par la demande ou par l'investissement. L'analyse de la situation économique de ces deux pays montre que, s'ils s...
J'observe d'abord que ces déplacements ont été fructueux puisqu'ils permettent un vrai débat au sein de notre Commission. Je voudrais répondre point par point aux questions posées. En réponse à Alain Rodet, je voudrais souligner que le fait que Natixis connaisse des difficultés financières ne signifie pas que son service des études est défaill...
En effet, mais l'expérience menée par M. Jospin a eu lieu en période de croissance en France, et non en période de crise comme aujourd'hui.
Monsieur le président, messieurs les ministres, monsieur le président de la commission des finances, monsieur le rapporteur général, monsieur le président de la commission des affaires économiques, madame la rapporteure, mes chers collègues,
Merci, monsieur Martin-Lalande. Je reconnais là votre esprit critique, toujours constructif. Merci de me dire que jusqu'à présent c'est parfait. Je vais essayer de poursuivre dans la même veine. Le groupe UMP votera le texte issu de la commission mixte paritaire relative au projet de loi de finances rectificative pour 2009.
Je sais que notre collègue Didier Migaud était très inquiet. Je voulais le rassurer d'emblée. Je voudrais également, cher Didier Migaud, lever deux inquiétudes que vous avez manifestées tout à l'heure. Vous avez dit que, finalement, le possible décalage entre les prévisions de croissance qui ont été annoncées pour la France pourraient inquiét...
Merci, monsieur le président, mais lorsque M. Muzeau a envie de contribuer au débat, j'ai, pour ma part, envie de lui répondre directement. Comme vous avez pu l'observer, monsieur Muzeau, s'agissant des bonus, le Président de la République a été catégorique. Il a convoqué les dirigeants des banques,
en leur disant en substance : grâce au soutien du Président de la République et du Gouvernement, vous avez réussi à vous financer ; il va donc falloir vous engager à ne pas percevoir de bonus. Vous avez entendu le message, très fort, des dirigeants bancaires : pas de bonus perçu au titre de l'année 2008. C'était un engagement du Président de l...