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C'est pareil avec vous : vous faites en sorte que nous n'ayons pas de lisibilité de l'ensemble de ces textes, en nous les faisant avaler petit bout par petit bout. C'est assez symbolique d'une ambiance de fin de règne, la fin de l'ère sarkozyenne bien illustrée par M. Warsmann qui, à défaut d'avoir des arguments convaincants, en venait à citer...
puisque, constitutionnellement, il n'a pas compétence pour s'exprimer sur ces sujets.
Vous êtes donc en quelque sorte, monsieur le garde des sceaux, le marqueur historique de la déliquescence du régime.
Il est trop sensible, trop émotif !
Je suis, comme d'autres ici, député depuis un certain temps ; mais par quel mystère peut-on supprimer la transposition d'une directive ? Pouvez-vous éclairer ma lanterne en cette heure tardive, monsieur le garde des sceaux ?
Monsieur le ministre, votre réponse est invraisemblable. Vous commencez par nous dire que vous comprenez la problématique, mais la chute est dure, puisque vous finissez par dire non. Pourtant, M. Grand, qui appartient à la majorité certes, d'une façon originale et connaît vos limites ne vous demande pas grand-chose : un simple rapport, et q...
au point que nous pourrions le voter. (L'amendement n° 52 n'est pas adopté.)
Ça commence mal !
Avec Sarkozy, on n'est sûr de rien !
Parole d'orfèvre !
Monsieur le garde des sceaux, vous êtes du pays de la cochonnaille, et force est de constater que vous faites une transposition législative de vos penchants gastronomiques en inventant la « loi salami » ! (Sourires.) On légifère petit bout par petit bout, quelques tranches aujourd'hui, quelques autres demain, tout cela pour empêcher la lisibili...
Si la discrimination est positive pour la Corse, elle ne l'est pas pour la Picardie, au sujet de laquelle M. le garde des sceaux a refusé de répondre ! Nous connaissons le Gouvernement dont vous êtes le porte-voix, monsieur le garde des sceaux, ou peut-être devrais-je dire plutôt le portefaix : on vous fait porter un lourd fardeau dont vous vo...
Peut-être bien M. Lellouche !
Vos présentations, monsieur de Romanet, monsieur Bouvard, était fort intéressantes mais un peu roses. Les banques ont fait pression en arguant des obligations imposées par Bâle III, dont la perspective pourtant s'éloigne ; or le taux de centralisation de l'épargne réglementée, lui, n'évolue guère : pouvez-vous nous indiquer son niveau précis ?...
Monsieur le président, mon intervention porte non pas sur la température atmosphérique mais sur la température sous laquelle vont se dérouler nos débats. À défaut de boire les paroles du Président de la République, nous y sommes très attentifs. Vous avez ouvert la séance avec le décret pris par le Président de la République, qui pourrait nous a...
Sortie de crise ?
Si vous êtes encore à ce poste !
C'est un Te Deum ou un requiem !
Le ministre n'écoute pas parce qu'il sait que ce n'est pas mérité !