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Interventions de Jean-Pierre BrardLes derniers commentaires sur Jean-Pierre Brard en RSS


12272 interventions trouvées.

Nous allons continuer d'essayer de moraliser, même si, il faut le reconnaître, nous n'avons pas la même conception de la morale, pas plus que de l'économie ou du social. Et je ne vous surprendrai pas, madame la ministre, en vous disant que nous, nous considérons qu'il ne faut pas laisser les clefs de la maison aux actionnaires, qui passent d'un...

Ah ! Mme Lagarde vous donnera une meilleure traduction que la mienne parce que ce ne sera pas une traduction littérale c'est très important de traduire l'esprit, car l'esprit implique de penser. Donc nous considérons que la mesure, qui vise les seuls « chats gras », mais peut-être ma traduction sera-t-elle contestée, les chats gras de la fin...

Un tel montant reste exorbitant, surtout quand il se paie dans ces mêmes entreprises et parallèlement de la multiplication des plans sociaux, qui, eux, sont d'abord un coût pour la société tout entière. Sous le bénéfice de ces utiles observations j'espère en tout cas, madame la ministre, que vous les reconnaîtrez comme telles , nous vous pr...

Dans son essence si j'ose ce terme philosophique , cet amendement n'est pas différent de l'amendement n° 414, mais il s'applique à un autre endroit du texte. Ce qu'il faut mettre en évidence, pour les médias et l'opinion, c'est que nous sommes dans deux logiques différentes. Votre logique, c'est de considérer qu'il y a une société dans la so...

Ils n'ont qu'une voix consultative, c'est-à-dire qu'ils peuvent porter des faire-part de décès !

Monsieur le président, nous avons déjà eu une discussion à ce sujet tout à l'heure : il n'est pas nécessaire de mettre le turbo ! Nous voulons éclairer l'opinion. Moi, je suis écolo et je n'aime pas aller trop vite, parce que cela consomme trop et pollue ! Il faut rester dans des normes raisonnables. Nous avons beaucoup avancé cet après-midi. I...

Monsieur le président, permettez-moi d'abord de souligner que c'est pour moi un vrai plaisir de vous retrouver à cette place.

Monsieur le président, peut-être étiez-vous dans cet hémicycle quand, en octobre 2004, j'interrogeais le ministre de l'économie et des finances d'alors, qui s'appelait M. Sarkozy, sur des propos qu'il était censé avoir tenus à New York vous allez tout de suite comprendre où je veux en venir, car cela a évidemment trait à nos travaux. Il devai...

Si, monsieur le rapporteur général, car comprenez que l'absence de réponse sur une question qui touche au respect de la Constitution pèserait sur nos esprits et troublerait donc le bon déroulement de nos travaux.