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Ce n'est pas dans le texte !
Si c'est une question de foi !
Nous ne sommes pas là pour faire de la technique !
Essentielle ? Vous faites de la philosophie, maintenant ?
Vous faites bien !
Il disait le contraire !
Et depuis deux mille ans, l'église catholique ! (Sourires.)
Et depuis toujours, il y a des riches !
J'espère, monsieur le président, que nous allons pouvoir avancer grâce au renfort de « soeur Emmanuelle » célèbre depuis ses propos hostiles à la laïcité et favorables aux sectes, mais cela est une autre histoire J'en reviens aux amendements. Pierre Méhaignerie a pointé un problème le coût représenté par la création de commissions permane...
Monsieur le président, je n'ai pas, en ce qui me concerne, besoin de « soeur Emmanuelle » pour m'inspirer. (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Je trouve désagréable, voire choquant que la directrice de cabinet du Président de la République vienne à l'Assemblée nationale pour donner le « la » aux déput...
En conclusion, monsieur le président, nous ne voterons pas cet article.
Un président bien éphémère
Faire de la politique, c'est faire de la pédagogie.
Vous, madame, messieurs du Gouvernement, vous préférez l'anesthésie.
L'anesthésie, monsieur Morin. N'êtes-vous pas appareillé ?
L'article 13 vise à compléter l'article 35 de la Constitution qui dispose que « la déclaration de guerre est autorisée par le Parlement ». On nous affirme, depuis le début de l'examen de ce texte, que nous sommes en train de renforcer les droits du Parlement, ce qui se traduit de la façon suivante : « Le Gouvernement il n'est pas écrit : dans...
Même si c'est dans le cadre d'une décision de l'ONU, on engage des troupes qui sont amenées à combattre ; si ce n'est pas la guerre, alors il faudra m'expliquer de quoi il s'agit. Faudra-t-il autant de décennies qu'il en a fallu concernant l'Algérie pour reconnaître qu'il s'agit d'un conflit armé ? Plus loin dans le texte, il est précisé que «...
Je n'ai pas épuisé mes cinq minutes, monsieur le président, et de plus je n'ai pas prévu d'aller jusqu'au bout. Qu'on nous parle, comme notre collègue Folliot, de « défendre la paix » ! Au Tchad, vous croyez que, quand on soutient un dictateur, on défend la paix ?
Qui a décidé que les troupes devaient venir à la rescousse du dictateur ?
Avons-nous été consultés ? Certainement pas ! Monsieur Folliot, tout de même, vous poussez le bouchon un peu loin quand vous réduisez le rôle du Parlement à celui d'une association de dames patronnesses réduite à exprimer son soutien aux soldats de l'armée française engagés par un homme seul, enfermé dans son palais, et qui ne consulte même pas...