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Monsieur le président, ce rappel au règlement atypique n'est pas sans lien avec ce que vous venez de nous annoncer : je tiens à souhaiter la bienvenue à notre collègue Bruno Bourg-Broc, député de Valmy même s'il n'est pas un gauchiste invétéré. (Sourires.) Ainsi, la fougue de la jeunesse inexpérimentée va être remplacée par un socle de la dro...
La sécurisation de l'accès à internet, pierre angulaire de l'efficacité de la HADOPI, est une illusion. Je suis sûr que le rapporteur commence à le comprendre. En informatique ou ailleurs, la sécurité n'est jamais absolue et les règles ne sont pas transposables. Penser que la HADOPI, qui dépend du ministère de la culture, pourra édicter des rè...
Je parle pour votre bien, monsieur Mitterrand ! Mais voyez là une remarque amicale, et presque affectueuse. Par ailleurs, on se met en sécurité pour se prémunir contre des attaques, contre des menaces. Or vous souhaitez mettre en oeuvre des moyens dits de sécurisation pour empêcher des usages répandus chez nos concitoyens et même majoritaires...
Centres de rétention.
Monsieur le ministre, c'est tout à votre honneur de corriger votre conseiller. C'est l'éminence de la fonction politique, à laquelle vous contribuez à donner ses lettres de noblesse. Vous pourriez d'ailleurs donner quelques conseils à certains de vos collègues du Gouvernement.
Nous ne sommes pas ministres, et c'est dommage. La France irait mieux. Monsieur le ministre, si j'avais à ma disposition la boule de cristal grâce à laquelle Mme Lagarde nous a habitués à prévoir la situation économique du mois qui suit, j'y verrais ce que vous ferez quand vous ne serez plus ministre pas tout de suite, bien sûr, vous venez d...
Je les défendrai l'un après l'autre, monsieur le président. Procédons avec méthode ! En bon marxiste, j'examine les choses l'une après l'autre. Mais ce serait trop long à vous expliquer aujourd'hui. Restons-en à l'amendement n° 838. Il prévoit une exonération de responsabilité pour une personne qui n'aurait pas, suite à l'obligation qui lui en...
Il télécharge !
C'est un débat que nous avons eu ce matin avec Mme Alliot-Marie. Nous avons tous deux un point de vue de classe, mais nous ne représentons pas la même.
Cela s'humanise !
Nous ne sommes pas du même côté. C'est aussi la gloire de la politique d'organiser la confrontation entre les deux. Vous avez été très claire ce matin en disant que ceux qui proposaient la gratuité étaient en quelque sorte des démagogues. J'ai la faiblesse de penser qu'il y a des droits fondamentaux, à la communication, à la santé, à l'éducatio...
Là, ce sont les méthodes niçoises !
Je vous prie de m'excuser madame la ministre, si je me répète en boucle depuis ce matin, mais je n'ai pas encore obtenu la réponse. Les moyens de sécurisation sont-ils interopérables ? J'ai essayé de raisonner par analogie, en montrant que le système français était bien placé dans le domaine bancaire. Ce n'est pas de même nature, mais pour les ...
C'était de l'esprit, monsieur le président !
Nous proposons six mois au lieu d'un an dans cet amendement de repli puisque vous ne voulez rien céder sur le fond destiné à protéger les internautes et réduire l'impact de l'atteinte aux libertés que vous leur infligez.
Monsieur Riester, vous fonctionnez selon une vieille technologie : comme les soixante-dix-huit tours rayés, vous répétez toujours la même chose.
Ce que disent le rapporteur et le ministre est très intéressant. Je poursuis mon analogie avec les banques. Pourquoi n'y a-t-il pas interopérabilité aux États-Unis ? C'est parce que chaque banque veut préserver son pré carré au détriment des détenteurs de comptes. Vous faites la même chose pour l'internet : vous nous mettez au même niveau de ri...
Mais répéter mille fois une inexactitude ne suffit pas à lui donner la force d'un vrai argument. Je voudrais profiter de mon temps de parole, monsieur le président, pour souligner une chose, qui n'a pas été évoquée jusqu'à présent. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Je le dis à l'intention de M. Bourg-Broc afin qu'il puisse profiter d...
Écoutez la suite ! et du nombre de leurs signataires. Mais savez-vous combien on dénombre de fournisseurs d'accès en France ? Touché-coulé, monsieur Riester ! Vous ne le savez pas je ne poserai pas la question à M. Bourg-Broc, qui vient de revenir. Il y en a trois cents. Et savez-vous combien d'entre eux ont signé les accords de l'Élysée ? C...
Je vous remercie, madame la ministre.