11490 interventions trouvées.
Oui. Ce n'est pas un front de classe, mais un front commun !
Qui n'aspire à posséder une belle maison ? Vous le savez bien, madame la ministre : depuis la Révolution, au fond de chacun de nous sommeille un propriétaire. Certains parviennent à satisfaire leur fantasme, d'autres moins. Ou bien on rêve de posséder une belle voiture. Nous avons évoqué tout à l'heure les choix possibles : une Ferrari ou une ...
Cela dépend qui ! Mieux vaudrait que nous les choisissions.
Je suis d'accord avec vous : il faut donner la priorité à Renault, malgré son épouvantable patron.
Je partage votre avis sur la Twingo, mais je n'ai pas la même opinion favorable du patron de Renault.
Voyant les réactions de nos collègues de la majorité, je me dois de leur rappeler l'existence d'une sorte de futur que nous avons tous appris sur les bancs de la communale : le futur proche ! (Rires.) Je constate que cela ravive des souvenirs ! Notre amendement est de même nature que celui qui vient d'être défendu par Jean Gaubert en ce qu'il ...
Je vois que nous sommes d'accord, madame Rosso-Debord.
Je n'hésite pas, madame la présidente,...
mais cela devenait intéressant : notre collègue défendait la production nationale malgré M. Ghosn. Je reviens au sujet qui nous occupe. (« Ah ! » sur les bancs du groupe UMP.) De nombreuses personnes veulent aussi posséder les derniers gadgets : le dernier écran plasma, le dernier téléphone portable, etc. Heureusement, les sociétés de crédit...
En effet ! Je vois que vous êtes bien informée. (Sourires.)
C'est gentil, mais cela commence mal !
Madame la ministre, votre raisonnement souffre d'un déséquilibre. En effet, vous discutez avec les opérateurs, c'est-à-dire avec ceux qui profitent. Naturellement, leur conception du point d'équilibre n'est pas nécessairement la nôtre : le taux de rentabilité qu'ils exigent n'est pas raisonnable. À mille euros, cela passe de justesse, avez-vou...
Madame la ministre, nous prenons part à un exercice très intéressant. Cet amendement n'est pas capital pour l'équilibre de votre texte. En outre, nous connaissons les marges de manoeuvre dont vous disposez : à la différence d'autres membres du Gouvernement, vous n'avez pas besoin d'un arbitrage de Matignon ou du palais de Sa Majesté pour accep...
Madame la ministre, je note que nous progressons grâce au dialogue. D'abord, vous progressez dans la voie de l'autocritique.
Oui, je sais que vous avez de bonnes lectures désormais. Mais comme disait Marx, « la preuve du pudding, c'est qu'on le mange ». Vous avez déjà la substance liquide, il nous faut maintenant voir s'il y a le pudding avec et si vous le dégustez ainsi que Marx l'a conçu. Vous savez, la vie est un long processus dont les contradictions incessantes...
Vous n'allez pas me dire que c'est difficile pour vous, parce que je sens que vous reculez devant les difficultés.
Pourquoi pas la concierge ?
Madame la ministre, vous avez indiqué que vous avez consacré plus de temps aux associations de consommateurs qu'aux banquiers. Je pourrais en tirer une conclusion facile jusqu'à laquelle je n'irai : c'est qu'avec les banquiers vous tombez spontanément d'accord et que les réunions sont vite terminées, tandis qu'avec les consommateurs le débat es...
Beau discours pour un député !
Vous me permettrez de considérer qu'à cette heure on peut plaisanter un peu. Votre pratique, madame la ministre, ne correspond pas à la caricature que je viens de présenter. Mais là encore, ce qui nous départagera, c'est l'examen concret de la réalité concrète, disait le même, de façon fort sage. Compte tenu de l'engagement que vous avez pris...