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Les amendements de Jean-Pierre Brard pour ce dossier

59 interventions trouvées.

Tout le monde n'a pas voté, et M. Pinte a, quant à lui, voté contre. Je le répète, ce sous-amendement devait être rejeté. Chacun a contribué à ce que le débat se déroule paisiblement jusqu'à présent,

mais nous ne sommes pas d'accord avec ce qui vient de se passer. C'est la méthode du chausse-pied, pour rester poli !

Je ne répéterai pas les arguments, que j'approuve, de mes collègues MM. Gosnat, Le Bouillonnec et Cacheux. La sous-occupation peut être réelle, tout en étant alors explicable, mais aussi apparente : avec les progrès de la pauvreté, la génération la plus âgée est souvent l'ultime recours de la plus jeune, c'est-à-dire des enfants voire des peti...

Expulser les générations les plus anciennes revient aussi à appauvrir la vie sociale. Certaines situations, il est vrai, sont anormales ; mais, bizarrement, on n'en parle pas du tout. Il existe même des situations d'exterritorialité. Heureusement, notre Président de la République, très actif, que dis-je, vrai vibrion, a exigé, le 11 décembre 2...

Vous ne lui avez pas apporté de réponse en ce qui concerne vos deux premiers arguments, alors que sa voix était celle du bon sens. Et quand vous nous dites que les services chargés de cette question à Bercy ont conçu un outil qui aurait même déjà reçu un nom, je ne peux m'empêcher de penser à Chorus, ce système qui devait nous aider dans l'app...

Madame la ministre, le débat que nous avons est très symbolique. Votre gouvernement nous a fait voter une loi organique censée élargir les droits du Parlement. C'est ce que vous avez dit et même si vous ne l'avez pas dit personnellement, vous êtes solidaire du Gouvernement, vous marchez comme un soldat, sous la houlette du général en chef ! ...

Il y a certes quelques esprits libres dans la majorité mais, alors qu'au début du débat, nos collègues de l'UMP étaient favorables aux amendements défendus par François Scellier et Michel Piron, appuyés, avec sa conviction habituelle, par Etienne Pinte, qu'avons-nous constaté ? Une fois que la ministre a sifflé la fin de la récréation, ils ont ...

Madame de La Raudière, cessez de m'interpeller ainsi de façon inamicale ! (Sourires.) Ai-je rien fait de tel à votre égard ?

Je dis simplement que vous confondez l'esprit de responsabilité qui doit être celui d'un parlementaire avec la docilité qui sied à un membre de l'UMP. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)

N'allez pas si trop vite en besogne, monsieur le président ! Pour légiférer, il faut prendre son temps. Madame la ministre, nous avons écouté vos propos avec intérêt, mais nous avons besoin d'une réponse plus précise, afin de savoir si nous retirons ou non l'amendement. Ce sont des agents de droit privé, dites-vous. Si ces agents sont les témo...

C'est une réponse papale ! Nous ne sommes pas plus avancés qu'avant de l'entendre ! (L'amendement n° 819 n'est pas adopté.)

L'amendement s'inscrit dans la logique que nous défendons depuis le début de cette discussion. Il vise à maintenir le caractère paritaire de la gestion du 1 % et à atténuer le caractère autoritaire de sa réforme. Nous nous opposons à la mise sous tutelle de l'ANPEEC. Ce n'est pas parce qu'elle a été négociée qu'elle est légitime ! Il faut s'in...

Depuis le début de la présente législature, à chaque réforme de la gouvernance d'établissements publics, l'État introduit dans les conseils d'administration des personnalités dites qualifiées par vous ! , des experts autoproclamés ou que vous appelez ainsi, sans que cela fasse consensus. Ce fut le cas avec la création du Pôle emploi, ou enco...

Madame la ministre, c'est aux actes que l'on juge les hommes et les femmes politiques, et non à leurs déclarations. En l'occurrence, hommes et femmes participent de façon paritaire à cette perversion qu'est la dérive autoritaire du régime.

Notre collègue Étienne Pinte a posé deux questions, madame la ministre. Vous avez répondu à l'une d'entre elles et, pour une fois que cela fait consensus, il faut s'en réjouir ! Mais la seconde question n'est pas moins importante que la première. Nous ne pouvons pas clore le débat sans avoir une réponse claire sur ce point. Je ne conteste pas l...

La discussion est paisible sur des sujets importants. M. Folliot a développé une argumentation que je ne suis pas loin de partager. Ceux qui connaissent nos villes, nos banlieues et les risques de ghetto, savent que nous avons le souci de la mixité.

Vous dites que ce n'est pas un rappel au règlement, mais je sais ce que je veux dire ! Ce n'est tout de même pas vous qui allez m'écrire mon texte, monsieur le président de la commission !

Vous m'interpellez ! De quoi vous mêlez-vous, monsieur le président de la commission ? Je m'adresse à vous, monsieur le président, puisque c'est un rappel au règlement.

Il y a eu une mise en cause sur un sujet extrêmement important. Or vous avez appelé prématurément le vote. Vouloir contraindre ainsi est de mauvaise méthode. Cela pourrait déboucher sur des demandes de suspension de séance !