2001 interventions trouvées.
Sur la base de ce rapport, le Gouvernement pourra présenter un projet de loi dans lequel il choisira de mettre en oeuvre, ou pas, les mesures en question. Rien ne sera imposé à la majorité et le Parlement se prononcera selon le contenu de ce texte sur lequel l'opposition sera peut-être amenée à proposer des amendements. Mme la secrétaire d'Éta...
D'autre part, je rappelle que cette question ne relève pas de la compétence de l'Union européenne mais de celle des États. Alors, où est donc le risque ? Où est le danger ? Pour que nous puissions voter une résolution qui ne soit pas vidée de son contenu, il faut lever le malentendu. Nous devons adopter un texte positif et constructif alors qu...
Monsieur le président, je demande, au nom de mon groupe, une suspension de séance de quelques minutes.
Monsieur le Premier ministre, je voudrais vous parler de politique industrielle. (« Ah ! » sur les bancs du groupe UMP.)
Avec Marie-Odile Bouillé, ici même, la semaine dernière, et avec les élus responsables de la région et de Saint-Nazaire, nous ne cessons de vous interpeller depuis des mois à propos de l'avenir des chantiers navals.
Sept mille emplois sont directement concernés par votre décision. L'armateur MSC est prêt à commander deux paquebots, mais il a besoin pour cela de la garantie de l'État. C'est ce que les élus socialistes vous demandent depuis des mois ; or, jusqu'alors, le Gouvernement s'est dérobé.
Ni les élus, ni les syndicats, ni les salariés et leurs familles n'ont obtenu la moindre réponse. Et voilà que nous apprenons miracle des élections qu'une commande de bateaux serait imminente.
Or l'annonce ne vient ni de l'entreprise ni de l'État actionnaire, mais du candidat UMP en campagne à Saint-Nazaire ! (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR. Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Monsieur le Premier ministre, je trouve terrible qu'il faille attendre les élections pour que votre gouvernement s'occupe de l'entreprise et de ses salariés. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Mais il serait encore plus terrible qu'il ne s'agisse que d'une annonce électorale sans lendemain, comme le laisse craindre la manière dont, trop souvent, le Gouvernement gère les dossiers industriels. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Je le dis ici solennellement : Saint-Nazaire ne veut pas être le nouveau Gandrange ! (Applaudisseme...
Enfin !
Monsieur le président, je demande la parole !
Mes chers collègues, permettez-moi tout d'abord de faire une remarque d'ordre constitutionnel : nous avons actuellement une séance de questions au Gouvernement. Or force est de constater, à la suite de l'intervention de M. Bertrand, secrétaire général de l'UMP, la semaine dernière et de celle de M. Copé aujourd'hui, qu'il s'agit non plus de séa...
Monsieur Copé, puisque la parole est libre, permettez-moi de vous rappeler que M. Frêche a déjà été exclu du parti socialiste en janvier 2007. Ses déclarations sont inacceptables et la direction du parti socialiste a pris ses responsabilités. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.) Cela étant, monsieur Copé, vous n'avez pas à faire la...
C'est ignoble !
J'ai entendu la question et la réponse de l'UMP. C'est une véritable provocation... (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.- Applaudissements sur les bancs du groupe SRC)
une manipulation, mais aussi une insulte à ceux qui, tous les jours, dans les régions, font leur travail avec dévouement : les présidents de région que vous insultez à travers votre propos. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC. - Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) La propagande que vous êtes en train d'instiller partout est i...
Ce n'est pas à l'UMP de faire la leçon, vous qui avez refusé au groupe socialiste le droit d'enquêter sur les sondages de l'Élysée, parce que vous en aviez peur ! (Vifs applaudissements sur les bancs du groupe SRC.- Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Nous n'avons qu'une seule conviction : la démocratie. Nous allons livrer bataille sans...
Monsieur le secrétaire d'État, depuis plusieurs années, dans de nombreuses villes de France, des ressortissants communautaires de Bulgarie et de Roumanie issus des minorités roms, qui sont protégés par ailleurs par leur droit national d'origine et par le droit international, dont celui de l'Union européenne, sont contraints de vivre dans des co...
Il s'agit là d'une exigence première. Je souhaite donc savoir si la politique du Gouvernement permet un traitement digne de cette situation et si elle est conforme aux valeurs de l'Union Européenne.