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Pas si clairement que cela !
Mais le Premier ministre n'est pas là, ce matin !
Rendez-vous mardi, monsieur Laffineur !
Arrêtez d'insulter les enseignants !
Pourquoi vous plaignez-vous ? Vous êtes au pouvoir depuis 2002 !
Vous vous trompez d'époque !
Nous ne sommes plus au xixe siècle !
Vous, ça ne fait que six ans !
C'est trop beau ! Nous allons diffuser votre discours partout !
Mais si !
Je ne peux pas laisser passer cette contrevérité !
Monsieur le secrétaire d'État, je ne peux pas accepter ce que vous dites parce que c'est une contrevérité. J'ai écrit deux fois à M. le Premier ministre pour demander ce débat. J'ai reçu une première réponse écrite le 4 février, et une seconde le 25 mars, dont j'ai lu un extrait : « Il n'y a pas lieu de débattre. » L'échange que j'ai eu avec le...
Mon explication sera extrêmement brève.
Comme vous le savez, monsieur le président, nous venons de déposer sur le bureau de la présidence et vous l'avez entre vos mains le texte d'une motion référendaire que nous allons défendre dans quelques instants.
C'est pourquoi, malgré tout l'intérêt que nous avons porté à l'intervention de notre collègue François de Rugy, le groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche ne participera pas au vote, se réservant pour la motion suivante, c'est-à-dire la motion référendaire que nous proposerons à l'Assemblée nationale.
Cette motion référendaire est une exigence démocratique, parce que l'Europe le vaut bien, parce que c'est le droit des Français,
parce qu'il n'y a pas d'autre voie pour exprimer le double engagement des socialistes : pour le traité, pour le référendum.
Les Français ont rejeté le traité constitutionnel européen qui leur était soumis le 29 mai 2005.
Près de trois années plus tard, un nouveau traité a été négocié. Il doit être ratifié par les Français. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)
Cette exigence devrait nous rassembler toutes et tous. À quelque banc que nous appartenions, que nous souhaitions approuver ou au contraire désapprouver le traité de Lisbonne, nous devrions partager cette volonté de rendre la parole à notre peuple.