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Les amendements de Jean-Marc Ayrault pour ce dossier

57 interventions trouvées.

Là n'est pas la question. Vous sous-estimez ce qui est en train de se passer dans l'opinion. Notre objectif, à travers le débat parlementaire, et je vous le dis ce soir, c'est d'enrichir le débat dans l'opinion,

de faire partager nos inquiétudes quant à ce que vous êtes en train d'imposer ici à la représentation nationale. Je comprends bien que vous soyez pressés. Je comprends bien, monsieur Copé, que vous vouliez aller vite : car si les socialistes réussissent, si l'opposition de gauche réussit à faire durer les choses, peut-être les Français vont-i...

Monsieur le président, je ne sais pas ce que M. Copé a cherché à faire tout à l'heure. Si c'était un débat de fond, j'ai essayé de lui répondre. Mais si c'est une provocation, alors il faut clarifier ce point. Je demande une suspension de séance d'un quart d'heure pour réunir mon groupe.

Je tiens à protester vivement, monsieur le président. À plusieurs reprises, M. Bloche a demandé la parole pour un rappel au règlement. Vous avez laissé entendre que vous la lui accorderiez après les inscrits sur l'article. À tout le moins, votre devoir est de la lui accorder une fois ! Quant au Gouvernement, devons-nous comprendre qu'il ne rép...

Le débat ne doit pas être le seul fait de l'opposition, mais il est vrai que la majorité a choisi de se taire, les provocations de M. Copé mises à part ! (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

Aurait-elle honte de ce projet de loi ? En tout état de cause, en démocratie parlementaire mais y sommes-nous encore ? , la moindre des choses est que le Gouvernement respecte les députés et leur réponde ! J'attends votre réponse, madame la ministre. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)

Nous refusons que l'on continue à nous mépriser de la sorte. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Nous n'avons cessé de défendre des arguments de fond, ayant trait au pluralisme et à la démocratie, et l'on nous accuse de faire de l'obstruction !

Vous en porterez la responsabilité. Il sera écrit au Journal officiel que le Gouvernement et la majorité ont refusé de débattre du pluralisme ! L'affaire est trop grave, monsieur le président : je demande une demi-heure de suspension de séance.

Monsieur le président, je vous avais demandé la parole avant que vous n'annonciez le scrutin. Nous avons voulu faire une démonstration politique. On voit combien il est difficile de mobiliser les députés de l'UMP pour ce débat. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Pour venir dans l'hémicycle, il a fallu que, pendant cette séance, vous s...

C'est scandaleux ! (Les amendements identiques nos 331 à 337 et 785 ne sont pas adoptés.) (Mmes et MM. Les députés des groupes SRC et GDR se lèvent et protestent vivement.)

Monsieur le président, je ne veux pas polémiquer. Je réitère donc ma demande : je souhaite que vous fassiez vérifier le quorum avant d'annoncer le prochain vote.

Monsieur le président, je vous ai demandé la vérification du quorum. Vous n'allez pas contester ma demande : elle est faite, et je ne la renouvellerai pas.

Madame la ministre, si, comme vous le dites, 90 % du temps est occupé par l'opposition, c'est parce que vous-même prenez rarement la parole. Quant aux députés de la majorité, ils sont soumis à la loi du silence ! (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

On ne doit pas caricaturer, comme vous venez de le faire, le point de vue de l'opposition. Nous sommes, avec cet article 6, au coeur de votre projet de loi, qui porte atteinte au pluralisme. Beaucoup de questions sont posées, comme celles de la nomination et de la révocation des présidents de France Télévisions et de Radio France, ou encore d'...

Nous venons d'assister à une provocation de la part d'un député peut-être en quête de la notoriété qu'il n'a pas

contre Noël Mamère, auquel j'exprime toute ma solidarité, et qui est très présent dans ce débat aux côtés des députés du groupe socialiste. Il y a quelques instants, nous avons eu un échange qui aurait pu être utile, mais qui a été balayé d'un revers de main, le rapporteur et tout particulièrement Mme la ministre ayant fait des réponses poli...

Il n'est pas digne de sa fonction. La logique serait de réformer le CSA, et, en attendant, il pourrait se dispenser de présider cette haute autorité « indépendante », mais qui ne l'est plus. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Dans ces conditions, (« Allons-y ! » sur les bancs du groupe UMP.) Vous savez très bien que ce p...