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Les amendements de Jean Gaubert pour ce dossier

16 interventions trouvées.

Il ressort de cette discussion un certain nombre d'ambiguïtés. La première concerne le débat que vous avez voulu initier sur la votation. Selon vous, les gens qui y ont participé étaient désinformés. Pourtant, un sondage révèle les mêmes craintes de la part de personnes qui n'avaient pas voté. Vous oubliez de parler des manoeuvres d'intimidatio...

J'aimerais pouvoir prendre la parole dans une atmosphère plus apaisée, monsieur le président. Si vous en êtes d'accord, je vais attendre que les collègues qui ne souhaitent pas m'écouter aient quitté l'hémicycle. Ce sera plus convenable pour tout le monde.

Je vous remercie, monsieur le président, de me donner la parole, mais il est extrêmement désagréable de parler dans ces conditions. (Approbation sur les bancs du groupe SRC. Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

Merci, monsieur le président, d'avoir rétabli l'ordre dans cet hémicycle. Avant d'aborder le fond du sujet, je voudrais rappeler, en tant que député des Côtes-d'Amor, la mémoire d'un de mes illustres prédécesseurs, M. Glay-Bisoin, qui passa plus de temps que nous n'en passerons sur le statut de la Poste pour obtenir de cette assemblée, en 1848...

Je n'avais pas besoin de le lire dans le rapport puisque c'est moi qui vous l'ai dit en commission ! Mon excellent collègue Henri Jibrayel, avec son tropisme méditerranéen, avait oublié de signaler que c'était un député Breton, costarmoricain, qui s'est battu pendant onze années pour obtenir que quel que soit le point du territoire où l'on se ...

Nous avons déjà entendu des expressions aussi convaincantes, ou au moins aussi convaincues que la vôtre, monsieur le ministre, émanant de certains de vos illustres prédécesseurs. En 2003 et 2004, EDF et GDF sont passés au statut de société anonyme, et l'on nous affirmait que jamais ces entreprises ne seraient privatisées, que jamais la part de ...

Certes, nous ne souhaitons pas forcément la libéralisation, mais l'entreprise publique peut tout à fait continuer à fonctionner comme aujourd'hui. Puisqu'il s'agit de passer au statut de société anonyme, se pose la question de la structure du capital de l'entreprise. Monsieur, le ministre, vous qui avez la charge de l'industrie, vous aurez l'o...

Je suis très content que vous le précisiez, parce que le ministre l'a présentée tout à l'heure comme une décision quasiment actée. Il est donc important de dire que, pour le moment, il ne s'agit que d'une hypothèse, et que rien n'est encore fait. En fait, la vraie question est de savoir à quel résultat tout ce que vous nous proposez de faire a...

Cela se termine en général par une visite au maire de la ville, au cours de laquelle on explique à celui-ci que les comptes ont été réalisés et que le bureau de poste ne peut pas être maintenu, car il n'intéresse personne. Bien évidemment, pour garder les 17 000 points de contact, on proposera au maire de faire une agence postale, sachant que L...

Tous les discours que vous tenez encouragent l'intérêt personnel et n'ont plus grand-chose à voir avec l'intérêt collectif et le service que l'on doit à l'ensemble de nos concitoyens. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)

Je remercie Daniel Paul d'avoir évoqué, dans son intervention très argumentée, un certain nombre de sujets, sur lesquels nous aurons l'occasion de revenir. Il a rappelé que, si l'Union européenne demandait bien l'ouverture à la concurrence, elle n'avait jamais demandé le changement de statut de l'entreprise. Il a parlé des obligations de serv...

Parlons-en ! Il y a deux ans, qui étaient les modernes parmi les modernes, ceux qui faisaient partout autorité ? C'étaient les traders et les grands banquiers. Ils considéraient qu'il ne fallait imposer aucune réglementation et qu'ils pouvaient édicter eux-mêmes des règles. Est-il nécessaire de vous rappeler ce qu'il est advenu de ces modernes,...

Pour la privatisation de France Télécom, nous avons d'abord mis un doigt dans l'engrenage et nous avons quelques responsabilités en la matière, ce que nous regrettons, il faut bien le dire

À France Télécom, nous avons vu comment la pression nouvelle imposée au personnel (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

Ce débat fait l'objet d'un temps programmé ; je peux donc m'exprimer comme je le souhaite puisque ce temps de parole est décompté.

Madame la présidente, je vous conseille de ne pas vous laisser impressionner par le président de la commission des affaires économiques, qui essaie de tous nous déstabiliser. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC. Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) À France Télécom, tout le monde sait que les personnels sont stressés, mais ce...