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Interventions en hémicycle de Jean-François Mancel


226 interventions trouvées.

Ils l'ont d'ailleurs démontré de façon exceptionnelle entre 1997 et 2002. Ils sont dépensiers et démagogues, alors qu'actuellement, il faut être économes et volontaires !

Sur la situation économique et sociale, je ferai quelques remarques. D'abord, s'agissant du système bancaire, certes il est indispensable de sécuriser au maximum les banques, en leur demandant de faire des efforts. Mais en accumulant les contraintes pour le système bancaire je pense à Bâle 3 ne risque-t-on pas d'asphyxier progressivement l'...

Face à cette inquiétude réelle, je souhaiterais que vous nous apportiez des assurances. En second lieu, le chômage a recommencé à monter fortement, on l'a constaté avec les chiffres du mois d'octobre

Mais vous ne voyez pas ce qui se passe à l'extérieur. Sur ce plan, nous sommes bien moins mal lotis que la plupart des pays européens !

Le Gouvernement ne pense-t-il pas qu'il serait bon de reprendre les mesures très pertinentes de 2008 et 2009 sur le chômage partiel, qui évitent des destructions d'emploi ? Certes, cela a un coût. Pour ma part, je propose qu'on compense l'effort fait pour les salariés du secteur privé par l'arrêt total du recrutement dans la fonction publique e...

Enfin, ma dernière remarque rejoint le propos de Gilles Carrez : Quoi qu'il arrive, nous devrons aller beaucoup plus loin dans les économies. Mais il faut rassurer nos compatriotes, et effacer l'image, totalement injustifiée, que l'opposition voudrait nous accoler. Notre idée ne consiste absolument pas à casser le secteur public ; nous voulons...

Nous pouvons parfaitement continuer de protéger les Français comme nous le faisons, dans de bonnes conditions, avec un service public qui coûterait beaucoup moins cher parce qu'il serait plus efficient. Madame la ministre, parce que vous êtes vous-même efficiente nous continuerons à vous soutenir. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Monsieur le ministre d'État, ministre des affaires étrangères et européennes, c'est un petit budget pour une mission ô combien essentielle, et vous le savez bien, vous qui avez écrit des choses très pertinentes dans le Livre blanc dont vous étiez l'auteur. Pour 2012, le budget de la mission « Action extérieure de l'État » s'élève à 2,936 milli...

Le conseil des ministres a adopté, le 15 juin dernier, un plan de développement de l'enseignement français à l'étranger. Nombre de propositions qui avaient été formulées par la mission d'évaluation et de contrôle de la commission des finances ont été reprises par le Gouvernement dans le cadre de ce plan de développement,

à l'exception de la prise en charge des frais de scolarité, question à laquelle nous reviendrons sans doute lors de la discussion des amendements. Le passage de l'audiovisuel extérieur de la mission « Action extérieure de l'État » vers la mission « Médias, livre et industries culturelles » ne facilite pas les choses en matière de rayonnement ...

Mais je rappelle qu'en 2007, lorsque la décision a été prise de prendre en charge ces frais de scolarité, il n'était pas question de la moindre crise financière ni de la moindre difficulté économique majeure.

Monsieur le ministre d'État, telles sont les remarques et les propositions que je souhaitais formuler sur les crédits de la mission « Action extérieure de l'État », que la commission des finances a adoptés. En ce qui me concerne, je veux vous faire part de notre reconnaissance et de notre gratitude car vous menez, sous l'autorité du Président ...

La commission n'a pas eu à connaître de cet amendement, mais je dirai deux choses à titre personnel. D'abord, le ministre d'État a très justement rappelé que, même s'il a subi des coups de rabot successifs depuis une quinzaine d'années, le budget du ministère des affaires étrangères ne pouvait pas échapper aux contraintes qui nous sont imposée...

Nous n'avons pas eu l'occasion, en commission des finances, d'étudier l'amendement de François Rochebloine.

Bien sûr ! Je retrouve d'ailleurs dans l'exposé des motifs de l'amendement un certain nombre d'éléments qui figuraient dans le rapport de la mission d'évaluation sur l'enseignement du français à l'étranger, aux travaux de laquelle a notamment participé notre collègue André Schneider. Je ferai quatre remarques. Premièrement, vous oubliez, mons...

Si, tout de même ! Il me paraît important de savoir ce qu'ils pensent. Deuxièmement, l'engagement pris en 2007 l'avait été dans des circonstances financières qui n'avaient rien à voir avec les conditions actuelles. Je le rappelle car on l'oublie trop souvent : la crise est venue frapper à la porte de l'Europe et du monde à la fin de l'année 20...