Interventions de Jean-François Copé
1962 interventions trouvées.
C'est cela le socialisme français !
M. Le Maire est élu comme vous, monsieur Gremetz, et même mieux que vous !
De quelle entreprise ?
Vous oubliez d'ajouter « réactionnaire et de droite », monsieur Gremetz !
Monsieur Montebourg, entendez la clameur de ceux qui pensent dans le Parlement ! Faites un geste !
Ça commence à bien faire !
Ça suffit !
Ce procès d'intention est indigne !
Je veille sur vous !
Cinéma !
Ils ne valent pas chers, vos arguments, monsieur Valls !
Si jamais vous votez la réforme de la Constitution, nous nous attaquerons aux séances de nuit !
Monsieur Migaud, j'ai écouté votre intervention avec beaucoup d'intérêt et un certain plaisir. Je voudrais, sur le fond, vous répondre sur les trois points que vous avez évoqués : la hiérarchie des normes, la sécurité juridique et puis la confiance je garde cela pour la fin, parce que c'est le meilleur ! Pour ce qui concerne la hiérarchie d...
Cela n'est pas acceptable. Cette question n'a pas fait l'objet d'un consensus entre nous et le débat n'a jamais eu lieu. Il y a déjà suffisamment de degrés hiérarchiques entre les lois que nous votons constitutionnelles, organiques ou ordinaires pour ne pas en rajouter un nouveau qui serait juridiquement incompréhensible et poserait d'énorm...
Votre interprétation, monsieur Migaud, constitue donc un contresens majeur, je me permets de le dire au président de la commission de finances qui, peut-être, un jour demain ? pourrait devenir ministre des finances, soit dans un gouvernement socialiste, ce qui arrivera, je le souhaite, le plus tard possible, soit dans un gouvernement d'ouve...
N'insultez pas l'avenir ! Regardez comme nous sommes zen en ce domaine. Maintenant, nous sommes habitués. Nous sommes très pragmatiques. Dans tous les cas de figure, monsieur Migaud, ne vous y trompez pas, un gouvernement quel qu'il soit, ne peut pas se couper un bras en menant une politique de conjoncture qui serait freinée par une norme juri...
Pardon de vous déranger, monsieur Le Guen, je ne voulais pas gâcher cette fin d'après-midi !
Quand vous vous exprimez, monsieur Le Guen, je bois vos paroles, alors ayez au moins la courtoisie de me laisser finir mes phrases !
J'appelle donc naturellement le groupe UMP à adopter l'amendement de la commission des lois pour les raisons que je viens d'expliquer. Enfin, et surtout, je saisis cette nouvelle occasion pour inviter les uns et les autres à réfléchir à ce texte constitutionnel qui donnera tant de pouvoirs nouveaux au Parlement pour une démocratie modernisée ! ...
Vous voyez que cela sert à quelque chose !
