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.celui d'un grand parlement où de grands orateurs peuvent s'exprimer dans de grands débats. J'attache autant d'importance que vous à la qualité de nos débats. Et lorsque nous avons la chance, grâce à la révision constitutionnelle, d'avoir autant de prérogatives nouvelles, nous n'avons pas le droit de faire comme si rien ne s'était passé. Comm...
C'est sûr !
Ce faisant, nous rendons service à notre institution, nous en donnons une autre image aux Français. Les commentaires que les internautes laissent depuis vingt-quatre heures sur notre site en sont la meilleure démonstration. Aussi, monsieur le président Ayrault, je vous le dis en conscience : même si vous n'avez pas vocation cette fois-ci à nou...
Nous, nous ne connaissons rien, n'est-ce pas ?
Dont vous n'êtes pas, bien entendu !
C'est n'importe quoi !
Mon rappel au règlement se fonde sur le même article que celui que vient d'utiliser Jean-Marc Ayrault. Tout d'abord, comme vous venez de l'indiquer, monsieur le président, je souligne que la défense des droits du Parlement commence par le respect de la Constitution. Il n'y a donc pas lieu de débattre d'un amendement inconstitutionnel. (Applaud...
Ça, c'est du talent !
Très bien !
Ils le déshonorent !
Ah, là, là ! Merci qui ?
Monsieur le président, mes chers collègues, je souhaiterais faire à mon tour, à cette heure tardive, un rappel au règlement, dans une atmosphère que j'aimerais apaisée, tout au moins pendant quelques instants. Nous savons, les uns et les autres, que le débat sur le repos dominical est extrêmement difficile. (Sourires et exclamations sur les ba...
Le sujet mérite mieux que les propos que nous avons entendus depuis le début de cette soirée. (« Adressez-vous au Gouvernement ! » sur les bancs du groupe SRC.) Je pense notamment à certains mots particulièrement agressifs prononcés ici ou là, qui n'ont rien à voir avec le grand débat démocratique que nous souhaitons.
J'en appelle à l'ensemble de nos collègues : dans de tels moments, nous devons être capables de dialoguer, de nous écouter et de nous respecter. Or ce n'est pas le cas ce soir, me semble-t-il. C'est pourquoi, monsieur le président, je vous demande très solennellement de suspendre la séance. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)
Elles sont insupportables !
Pas de discours castrateur, madame la ministre ! (Sourires.)
Vous êtes déjà bien gentil avec quelqu'un qui va voter contre le texte !
C'est faux !
Ce n'est pas vrai !
Quorum. (Sourires sur les bancs du groupe UMP.)