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Enfin, je tiens à remercier le président de séance pour sa grande courtoisie. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Dans ce type de débats, chacun doit faire preuve d'esprit de responsabilité. Lors de vos moments d'égarement, monsieur Paul, n'hésitez pas à méditer son exemple, qui atteste que la courtoisie peut parfois transcender les clivages partisans. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
C'est vrai et je l'ai dit publiquement !
Jean-Marie Le Guen nous propose en quelque sorte de réexaminer les conditions d'organisation de notre débat. J'ai bien noté que sa proposition n'était en rien nourrie d'une quelconque arrière-pensée. D'ailleurs, ce n'est jamais le cas car tel n'est pas son tempérament.
Ce n'est pas à vous que je parle, monsieur Paul !
Vous progressez ! Vous vous êtes amélioré depuis ce matin ! C'est bien ! Il faudrait qu'on se voie plus souvent.
J'ai donc bien compris, monsieur Le Guen, que l'objectif est de finir dans un délai raisonnable et que vous ne souhaitez pas aller trop loin dans la nuit. Monsieur le président, je demande une suspension de séance d'une dizaine de minutes pour réunir mon groupe et discuter de la proposition de Jean-Marie Le Guen.
Monsieur le président, si vous m'y autorisez, je prendrai la parole pour faire le lien avec ce que j'ai dit tout à l'heure. J'ai consulté mon groupe, après avoir entendu Jean-Marie Le Guen, et nous sommes tombés d'accord, afin que nos travaux soient organisés de la meilleure manière, pour trouver, avec les représentants des autres groupes prése...
Je souhaiterais présenter mes excuses à Marisol Touraine. J'ignorais simplement que c'était elle le whip. Je m'excuse aussi auprès de Mme Billard. Il n'empêche que j'ai discuté de tout cela avec M. Muzeau et M. Le Guen. (Rires et exclamations sur divers bancs.) Enfin, j'ai de la suite dans les idées, et il me semble qu'il y a un lien très étro...
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Madame la présidente, je voudrais faire deux observations sur ce que vient de dire M. Le Guen. Ses remarques portent à la fois sur la forme et le fond.
Les problèmes de fond sont au coeur du débat sur le PLFSS. Ils ont été abordés en commission, il est normal qu'ils le soient aussi en séance. J'ai pour ma part le sentiment que le ministre du budget a déjà commencé à apporter des réponses, et elles ne cesseront de nous être données tout au long de ce débat, dans les 24 ou 48 heures qui viennent...
Sur la forme, M. Le Guen commence par regretter l'absence de Mme la ministre de la santé, puis nous dit qu'il souhaiterait voir aussi le ministre en charge des retraites (« Non ! » sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)
Ne niez pas, je vous ai bien entendu le dire il ne m'a d'ailleurs pas échappé que, suivant le député socialiste, et suivant qu'il s'exprime avec ou sans micro, la demande varie ! Je voudrais vous faire une contre-proposition. Peut-être pouvons-nous, dans un premier temps, continuer à travailler avec le ministre du budget dont, somme toute,...
Je vous propose donc de poursuivre ce débat, sans l'interrompre par des suspensions de séance répétées, et d'aller aussi loin que possible. Une fois encore, sur beaucoup de questions que vous posez, nous aurons les réponses aux articles suivants.
Plus vite nous avancerons, plus vite nous pourrons aborder le fond des problèmes et apaiser vos inquiétudes. (Murmures sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)
Poursuivons donc ce débat avec davantage de sérénité, en nous attachant au fond plutôt qu'à la forme ! (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Très bien ! Mais il faudra que les socialistes ne saisissent pas le Conseil constitutionnel !
Très bien !