Interventions en hémicycle de Jean-François Copé
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M. Bloche conclut : « Au moins, en résistant au Parlement, on se sent encore un peu utile à quelque chose ». Quant à nous, sur ces sujets, nous ne sommes dupes de rien. Nous donnons une bien triste image du Parlement, à quelques semaines de la modification de son règlement. Je préfèrerais, ô combien, que nous concentrions le débat sur nos diver...
Je suis votre élève ! (Sourires.)
plutôt que de jouer la montre comme nous le faisons, une technique bien dommageable à notre objectif de mener un débat de fond propre à éclairer le pays sur les différences légitimes qui séparent la droite et la gauche, sur un sujet qui ne mérite pas tant d'obstruction de votre part.
C'est difficile !
Ne voulons-nous pas tous d'une belle et grande télévision publique ?
Et le coming-out de M. Bloche sur ce que vous faites !
Dans d'excellentes conditions !
Je n'ai rien fait !
La discussion générale est close depuis la semaine dernière !
Et voilà !
C'est le mot de la journée !
Il est minuit moins le quart ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Il n'aime surtout pas les démagogues !
Ce qui était parfaitement mon droit !
Ça vous va bien de dire ça !
Vous le revendiquez, un communiqué est là pour le prouver !
Allons donc !
Jusqu'à présent, nous avons laissé faire, mais je voudrais maintenant faire, moi aussi, un rappel au règlement. Après tout, ce n'est pas le monopole de l'opposition. Je veux uniquement attirer l'attention de l'Assemblée sur le fait que nous ne devons pas être dupes ! Depuis le début, l'opposition n'a qu'une idée en tête : faire de l'obstruction...
Mesdames et messieurs de l'opposition, vous n'avez posé aucune question.
Vous avez passé l'essentiel de votre temps en invectives, en caricatures, en dévoiements d'un débat qui désormais n'a plus aucun intérêt. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Vous vous inquiétez de l'absence de prise de parole de la majorité.
