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Les amendements de Jean-François Copé pour ce dossier

87 interventions trouvées.

En ce qui concerne le Nouveau Centre, je veux indiquer à M. Sauvadet que je fais deux ouvertures, en dépit des propos très déplacés et très désobligeants que, à plusieurs reprises, il a cru devoir tenir à notre endroit elles ne se concrétiseront, bien sûr, que s'il déclare voter le règlement, ce qui nous permettra, au moins sur un point, de n...

que le débat puisse démarrer dans un climat serein. Pour ce qui concerne le groupe UMP, l'essentiel a déjà été dit cet après-midi. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Heureusement que le président de la commission des lois, avec talent et pédagogie, permet d'éviter la désinformation ! Cela dit, je pense que le but de Jean-Marc Ayrault était moins d'obtenir des éclaircissements que d'introduire un peu de polémique dans le débat ; mais c'est une attitude à laquelle nous sommes habitués. Vous nous avez demandé...

Loin de moi l'idée de dire que ce n'est pas normal, monsieur Brard. Vous qui vous réclamez des conventionnels, vous ne pouvez oublier que parmi eux figurait Robespierre qui ne laissait personne s'exprimer ! Et vous vous inscrivez dans cette droite ligne ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

La plupart de ceux qui se sont exprimés, monsieur Ayrault, appartenaient à l'opposition. Si je devais faire la somme de tout ce que j'ai entendu venant du côté gauche de l'hémicycle, il y avait quelques redites disons-le comme cela pour ne pas gâcher le climat de cet après-midi. Cela dit, nous avons écouté l'ensemble des interventions très s...

Je vous ferai observer que nous avons été moins bruyants lorsque vous vous êtes exprimés que vous ne l'avez été à notre égard, notamment lorsque j'ai moi-même parlé.

Après tout, c'est sans doute parce que ce que vous disiez était infiniment plus intéressant et important que mes propos. Au moins, sur ces sujets, nous ne vous aurons pas muselés !

Deuxième remarque, au-delà des effets de manche et de tribune qui, sur tous les bancs, font la tradition de notre Assemblée : nous n'avons pas si mal avancé ! Nous avons identifié un point de désaccord, c'est vrai, à propos de l'urgence.

Selon nous, l'urgence ne doit pas empêcher si nous le décidons le temps programmé. C'est une divergence entre nous. Pour le reste, j'ai noté dans les propos de M. Sauvadet qu'il prenait acte que nous avions fait des avancées significatives. Peut-être puis-je espérer que dans les colonnes d'un prochain numéro du Figaro, il ira jusqu'à dire,...

Sur le fond enfin, je voudrais apporter à M. Lagarde un élément de réponse à l'analyse qu'il a faite des relation entre l'Assemblée nationale et le Sénat. Je ne pense pas un seul instant que le maintien de l'urgence entraîne un affaiblissement de notre assemblée dans le cas où celle-ci est saisie en premier. En réalité, monsieur Lagarde, cela n...

À nous de prendre nos responsabilités. Ma conviction, de ce point de vue, est très simple. S'il apparaît que le Sénat, saisi après l'Assemblée nationale, en vient à dénaturer le texte que celle-ci aurait adopté en première lecture

il nous appartiendra de dire que les conditions ne sont pas réunies pour que la CMP se tienne valablement et que le texte devra, par conséquent, revenir devant l'Assemblée nationale pour une seconde lecture. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR. Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Ce jour-là, nous aurons franchi un cap politique, je le dis aussi bien à M. Lagarde qu'à nos collègues de l'opposition. Cela signifiera en effet que nous serons de moins en moins des députés godillots

et de plus en plus des hyperdéputés, dans le rôle qui est le nôtre. Mais aujourd'hui, si nous n'avons plus envie d'être des députés godillots, du XXe siècle, nous ne sommes pas encore des hyperdéputés du XXIe. Sur certains sujets, nous sommes en effet encore hésitants sur les propos que nous devons tenir et les positions que nous devons prend...

Je veut d'abord profiter de mon intervention pour remercier l'ensemble de mes collègues du groupe UMP qui sont très présents et très attentifs à ces sujets difficiles. J'apprécie leur soutien solide dans cette période où la mode consiste à expliquer que tout ce que nous faisons est mal, alors que tous les refus des socialistes, des communistes ...

Vous pouvez vous référer à mes propos d'hier soir : tout ce que nous proposons correspond aux annonces faites. Je le répète : le contrôle et l'évaluation des politiques publiques et des politiques gouvernementales doit se faire à parité entre la majorité et l'opposition. C'est normal, et c'est ainsi que fonctionnement toutes les grandes démocr...

Je n'ai pas du tout l'intention de demander la vérification du quorum car je souhaite que cette procédure soit utilisée à bon escient. Il s'agit donc bien d'un rappel au règlement. Je constate que nos travaux se déroulent dans un climat plus apaisé que celui que nous avons pu connaître précédemment

Je ne souhaite qu'aider ; si vous avez le sentiment qu'il ne faut pas le dire, je ne le dirai pas, mais laissez-moi tout de même constater que nous progressons à bon rythme en écoutant les points de vue des uns et des autres.

Je saisis cette opportunité, et c'est l'objet de ce rappel au règlement, pour dire combien les députés de l'UMP ont le souci de faire avancer la discussion dans le bon sens. Je ne reviendrai pas sur les avancées déjà réalisées, notamment sur la procédure des questions au Gouvernement. J'évoquerai en revanche les progrès accomplis cet après-mid...

Il suffira désormais de quinze députés pour former un groupe, disposition à laquelle certains de nos collègues sont sensibles. J'aborderai également quelques points sur lesquels nous pourrions utilement avancer. La question du temps de parole des présidents de groupe qui nous renvoie d'une certaine manière aux deux infinis, comme dirait Blaise...