7071 interventions trouvées.
Dans quels locaux ?
Avez-vous une idée du nombre de personnes qui ont été vaccinées dans le périmètre géographique couvert par l'AP-HP ?
Le centre de vaccination installé dans ma ville, armé pour partie par l'hôpital Avicenne et qui couvrait trois communes, n'a accueilli que 5 000 personnes en deux mois, dont 3 000 en trois semaines. Avicenne aurait été capable de s'en occuper. Votre proposition me semble donc intéressante.
Je partage assez cet avis. J'ai cru comprendre que les gens ne défilaient pas à l'AP-HP pour se faire vacciner et que des flacons y ont été jetés sans que toutes les doses aient été utilisées. Or n'importe quel médecin de ville aurait été capable de regrouper ses patients par sept, huit ou neuf afin d'éviter de gâcher des doses.
Pas la peine de venir chercher celui de Drancy car c'est ma commue qui l'a payé !
Je me demande bien où l'AP-HP a pu acheter des réfrigérateurs. À Drancy, c'est la commune qui a dû le fournir. Quand la préfecture m'a sollicité, je lui ai proposé de mettre à disposition un centre médico-sportif, équipé notamment de cabinets de consultation, mais elle m'a répondu que nous risquions d'être submergés par l'affluence et qu'elle r...
Il se trouve qu'une école d'infirmières est implantée dans ma circonscription et que certaines des élèves ont manqué trois semaines à un mois de cours, censés nécessaires pour préparer leur examen. La DGS a-t-elle bien assuré qu'elle en tiendrait compte ?
Jusqu'à combien de patients auriez-vous pu tenir ?
Avez-vous, vous, formulé cette proposition ?
Nous ne faisons que nous interroger. Nous ne vous faisons porter aucune responsabilité.
Les préfets n'ont pas choisi les centres de vaccination les choses, en tout cas, se sont passées ainsi pour les centres que je connais le mieux mais ont demandé aux maires si ceux-ci pouvaient l'organiser dans tel ou tel local. Pour la région parisienne, seule la direction générale de l'AP-HP aurait pu se proposer ; en province, en revanche...
Nous terminons maintenant les auditions de cette journée par celle de M. Laurent Degos, président du collège de la Haute Autorité de santé (HAS).
Pourriez-vous préciser cette dernière idée ?
Nous avons bien compris que la Haute Autorité de santé était arrivée un peu après la bataille. Je souhaiterais néanmoins vous poser quelques questions. Elle n'a pas évalué les vaccins contre la grippe A, contrairement à tous les autres, uniquement parce qu'ils étaient distribués gratuitement et qu'elle n'évalue que les produits dont est sollici...
Les antiviraux Tamiflu et Relenza, eux, sont remboursés. Vous nous avez dit avoir procédé à leur évaluation selon votre « calendrier habituel ». Vu le contexte, votre avis sur ces produits n'aurait-il pas été plus urgent que d'habitude ? La haute autorité a rendu des avis successifs dans lesquels sa commission de la transparence a jugé le serv...
En théorie, ce n'est pas possible puisque vous êtes le seul à avoir prêté serment. En pratique, nous allons demander à M. Bouvenot de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, de lever la main droite et de dire « Je le jure ».
Personne dans votre commission ne s'est demandé comment, s'il vous avait été soumis, le vaccin contre la grippe H1N1 aurait été évalué, en fonction des données fournies par les laboratoires ? Vous avez dit que vous ne vouliez rien dire laissant à penser aux professionnels de santé, voire aux médias, que le Tamiflu pouvait remplacer la vaccinat...
Il me reste, messieurs, à vous remercier.
Nous accueillons M. Didier Houssin, directeur général de la santé au ministère de la santé et des sports.
Vous avez dit que le choix du conditionnement en multidoses était lié à un problème de délai. Quelle était la différence de délai annoncée par les laboratoires pour fournir des vaccins unidose ? Il sera d'autant plus intéressant d'entendre votre réponse à la dernière question du rapporteur que vous êtes le délégué interministériel à la lutte c...