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L'innocuité d'adjuvants éprouvés peut-elle être modifiée lorsque la souche a été changée ?
Pensez-vous, monsieur Hannoun, que la vaccination de 6 millions de personnes peut empêcher ce pic ?
Puisque le vaccin protège aussi de la grippe saisonnière, vous suggérez donc, monsieur le professeur, que soient vaccinés à la fois les destinataires habituels des bons de vaccination mais aussi les personnes identifiées comme à risque au regard du nouveau virus ?
En excluant les jeunes ou les asthmatiques ?
Dans les réunions de brainstorming auxquelles vous avez participé, le principe de la vaccination a-t-il été très discuté ou a-t-il constitué un élément très consensuel ?
Monsieur le professeur, merci d'avoir participé à cette audition.
Nous nous retrouvons pour auditionner M. le professeur Bernard Bégaud.
M. Bégaud s'interroge ; or un procureur ne s'interroge pas.
C'est clair ! Tout le monde s'est interrogé !
Je dois être l'un des rares membres de la commission d'enquête à ne pas exercer la profession de médecin mais je ne vois pas pourquoi il serait incompatible de vacciner et de soigner, car la phase de vaccination intervient avant que le virus se répande.
Pourquoi la France a-t-elle effectué le choix contraire pour les femmes enceintes ?
Mais pas à la lumière d'arguments scientifiques valables. Je confirme que cette décision a été dévastatrice : si les personnes présentant un risque potentiel reçoivent un vaccin non adjuvé, les gens en déduisent que les adjuvants sont dangereux.
Monsieur Bégaud, je vous remercie.
Mais on savait ce qu'il en était dans nos territoires d'outre-mer
Sur ce point, tout le monde est d'accord.
Quelle est votre réponse, s'agissant de la légitimité de l'alerte, au niveau national et au niveau international ? Par ailleurs, M. Debray a rappelé qu'on avait opposé au virus H1N1 une réponse conçue pour le H5N1, ce qui pose non seulement la question de l'adaptation des politiques, mais aussi celle des conceptions du profane en matière médica...
Merci à tous deux.
Nous accueillons M. Christian Lajoux, président du LEEM (« Les entreprises de médicaments »).
L'autorisation de mise sur le marché (AMM) n'aurait-elle pas dû en dispenser ?
Il n'y a pas de problème d'entente s'agissant de la clause de décharge de responsabilité.