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Comment sont-ils informés habituellement dans ce genre de circonstances ?
Quel est le canal traditionnel d'information des médecins sur la grippe, notamment saisonnière, ou d'ailleurs sur toute autre question sanitaire ?
Cela ne devrait théoriquement pas poser de difficulté, dans la mesure où tous les cabinets sont désormais informatisés.
À partir de quand ne l'avez-vous plus été ?
Plutôt que de s'appuyer sur des instances qui, bien que censées être financées pour cela, n'effectuent visiblement pas correctement leur travail, pourquoi le ministère de la santé ou la direction régionale de la santé ne pourraient-ils pas adresser directement à tous les médecins, un courriel, ou un courrier aux quelques-uns qui seraient demeur...
Si les médecins ne consultent même plus les informations officielles car ils n'ont pas confiance, que peut-on faire ?
Peut-on dire que si le maximum a été fait pour informer le public de façon transparente, il n'y a pas eu d'explications complémentaires particulières à l'intention des médecins ? Il y a eu en tout cas un sérieux problème de communication. A-t-on estimé que puisque le grand public disposait des informations dans Le Figaro, Le Monde, Libération e...
S'ils ne sont pas allés chercher davantage d'informations, est-ce parce qu'ils se sont sentis exclus ?
Avez-vous observé, messieurs, que la vaccination ait, à un moment quelconque, influé sur le pic de la pandémie ?
On a bien dit qu'il y aurait des publics prioritaires. Cela étant, vous êtes le premier, parmi toutes les personnes que nous avons auditionnées jusqu'à présent, à nous dire que la ministre vous a expliqué que les médecins libéraux n'avaient pas été associés en raison des difficultés qu'aurait posées la gestion des groupes prioritaires, ce qui e...
Les médecins de ville n'auraient pas été capables de gérer cela dans leur cabinet quand des infirmières, et même des élèves infirmières, le faisaient dans les centres de vaccination ?
Si les médecins et les infirmières de notre pays n'en sont pas capables, il y a de quoi s'inquiéter pour notre système de santé !
C'est encore un autre sujet. Nous regarderons avec les préfets, lorsque nous les auditionnerons, s'il y a eu des dysfonctionnements.
Lorsqu'on livre une information massive à la population et on ne peut pas s'en dispenser si on veut éviter le « syndrome de Tchernobyl » , il faut s'attendre à ce genre de réactions car elle ne possède pas les compétences pour analyser cette information dans le détail et la moduler comme il serait nécessaire. Elle ne s'y intéresse d'ailleurs ...
Un éditeur, pour gagner de l'argent, cherche à accrocher les lecteurs. Lors de cette pandémie, ce sont des médecins eux-mêmes qui ont parlé de dizaines de milliers de morts
Nous faisons confiance au rapporteur de cette commission d'enquête pour formuler des propositions qui permettent de faire mieux les fois prochaines. Il me reste, messieurs, à vous remercier.
Nous accueillons maintenant M. Jean Leonetti, président de la Fédération hospitalière de France.
Cette addition de phénomènes a-t-elle permis à la fédération de déterminer dans les hôpitaux un seuil d'accueil maximal qu'il faudrait prendre en compte si on avait affaire à un virus plus virulent ? L'expérience a-t-elle permis de mieux évaluer nos capacités de traitement ?
En septembre-octobre, les informations concernant l'hémisphère Sud et le fait que les services des hôpitaux n'étaient pas débordés montraient que l'épidémie était moins forte que prévu. N'avez-vous pas eu le sentiment que la rigidité du système empêchait de s'adapter. Trouvez-vous logique qu'on n'ait pas demandé aux hôpitaux de s'organiser pour...
Les internes ont bien été envoyés à l'extérieur