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Que voulez-vous dire, monsieur Mallot ?
Normal !
Monsieur le président, mesdames et messieurs les députés, monsieur le ministre du budget, messieurs les rapporteurs, ce PLFSS est un texte de transition. Il ne s'agit assurément pas d'une transition entre un PLFSS à l'équilibre et un PLFSS en déficit : voilà bien longtemps que nous ne sommes pas revenus à l'équilibre. S'agit-il d'une transiti...
Faut-il faire le dos rond en attendant la croissance ? Nous risquons d'attendre longtemps, car les emplois perdus sont des emplois industriels, donc des emplois solides et stables, alors que ceux qui ont été créés, notamment dans le secteur des services, semblent précaires. Nous pouvons également réduire les dépenses, et c'est en ce sens que n...
Une convergence plus rapide permettrait d'économiser un milliard d'euros par an, ce qui est considérable par les temps qui courent. Ne faudrait-il pas plutôt intégrer les établissements privés dans le domaine de contrôle de la Cour des comptes ? Comme l'a dit son premier président, cette mesure, qui fait l'objet d'un autre de mes amendements, o...
Enfin et j'en termine, monsieur le président , nous ne devons pas hésiter à réfléchir à nouveaux modes de rémunération des professionnels de santé.
La France a la particularité de sous-payer les actes, mais de maintenir des actes multiples. Nous devons travailler sur ce dossier (« Oh oui ! » sur les bancs du groupe SRC), essentiel pour revenir à l'équilibre.
Madame la ministre de la santé, monsieur le ministre du budget, je sais que nous avons à résoudre une équation quasi impossible, mais je suis convaincu que l'Assemblée saura s'y atteler. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Soudain, sur ce sujet, on n'entend plus l'opposition !
Non plus !
Il y a lieu de féliciter le rapporteur pour avis d'avoir su voir clair dans le maquis des outils de la politique de l'emploi. Car le système actuel ne satisfait personne : il ne satisfait pas, en premier lieu, les employés de Pôle emploi, débordés par une activité croissante, et ce, en dépit de recrutements importants. Il ne satisfait pas non p...
Les fermetures sont nécessaires ! La sécurité est en jeu !
Et c'est une bonne chose !
Il n'est pas facile de s'exprimer ce soir devant une assemblée pour le moins réactive. J'ai le triste sentiment, monsieur le secrétaire d'État, que vous êtes victime d'un procès d'intention. (Rires sur les bancs du groupe SRC.)
Comparez seulement, mes chers collègues, le résultat des élections législatives de 1993 et celui des élections de 1997 : vous verrez combien c'est instructif ! Mais à vous écouter, le territoire national est constitué d'hommes et de femmes qui votent d'un bloc selon une couleur politique, et le redécoupage serait le seul élément déterminant d'u...
La France a changé
et il était indispensable que les circonscriptions soient redécoupées. Je prendrai, vous vous en doutez bien, l'exemple du département de l'Hérault,
qui démontre à lui seul l'intégrité de notre secrétaire d'État et la qualité du redécoupage qui a été effectué.
Je comprends l'amertume que certains d'entre vous peuvent ressentir quand une circonscription disparaît, lorsque, à la suite d'évolutions démographiques, la sociologie change. Dans l'Hérault, nous sommes aujourd'hui sept députés, pour un nombre d'habitants compris depuis 2002 entre 900 000 et un million. Il a fallu attendre cette année pour qu...
Je n'y peux rien si les gens du Nord, les chtis, viennent finir leurs jours chez nous ; je n'y peux rien si certains départements de France se vident et si d'autres, grâce à la qualité de leur accueil, attirent de nouvelles populations. C'est la réalité. Dans l'Hérault, nous aurons neuf circonscriptions. Il y a plus d'un million d'habitants et...