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Nous sommes plutôt plus nombreux que vous !
Très bien !
Monsieur le ministre de l'agriculture et de la pêche, l'agriculture représente depuis toujours l'une des forces économiques incontournables de notre pays. La crise à laquelle nos agriculteurs sont confrontés depuis deux ans, toutes productions confondues, commande des réponses rapides et adaptées, véritable défi que nous devons relever si nous...
C'est bien !
C'est l'hôpital qui se moque de la charité !
C'est faux !
Nous avons beaucoup parlé hier de cette question. Mais, monsieur Muzeau, vous n'étiez pas là. C'est dommage !
Je m'inscris en faux contre nombre de vos propos. En tant qu'ancienne professionnelle de santé et ancienne infirmière, j'ai connu, au cours de mon expérience professionnelle, des conditions de travail qui n'étaient pas faciles. Cela étant, on ne choisit pas cette profession pour ses conditions de travail, mais parce qu'on aime faire ce métier ;...
Laissez-moi terminer. Cette reconnaissance est tout à fait légitime. C'est un engagement, une promesse du Président de la République.
Nombre de mes collègues approuvent cette reconnaissance et le souci qu'a eu le Gouvernement d'accompagner les infirmières dans une démarche qui n'était pas évidente, mais qui aboutit aujourd'hui. Elles sont tout à fait satisfaites de ces nouvelles conditions salariales qui leur permettront d'avoir un salaire décent par rapport à leurs condition...
Si, monsieur Muzeau, je les vois très régulièrement.
En outre, ces nouvelles conditions salariales, rehaussées, leur permettront d'avoir une meilleure retraite. Je regrette que vous vous focalisiez dans ce débat sur un point qui n'est pas le sujet de l'article 30. Vous vous obstinez à défendre la pénibilité, alors que nous ne la contestons pas. Elle existe dans cette profession, comme dans d'autr...
Tout ce qui sera fait après pour les autres professionnels de santé, cadres infirmiers et infirmières spécialisées, viendra petit à petit. Mme la ministre s'y est engagée et je n'ai aucun doute sur ce point. Je regrette que vous ayez employé des mots aussi forts pour définir des professionnels qui aiment ce qu'ils font, qui exercent leur métie...
dépeignent cette profession comme un enfer sur terre. C'est faux. Beaucoup de professionnels de santé aiment ce qu'ils font, et ressentent le besoin d'être reconnus à leur niveau de diplôme et de profiter de conditions salariales et de conditions de travail que nous pourrons tous ensemble améliorer. Compte tenu de la façon dont vous avez trait...
Elles bénéficient aujourd'hui d'une nouvelle revalorisation, ce qui est tout à fait logique. Elles ont des conditions de travail très encadrées. L'ensemble de la profession apprécie le geste du Gouvernement, votre geste, madame la ministre, car c'est une mesure courageuse, qu'il fallait prendre. Vous regrettez peut-être, sur les bancs de gauche...
Ce n'est pas le sujet du texte !
Vous êtes complètement hors sujet !
Bien sûr ! C'est sensé !
Tout d'abord, je tiens à vous rassurer, madame Lemorton : je suis tout à fait libre de ce que je fais et de ce que dis. Je n'ai pas de consigne du Gouvernement, comme vous le sous-entendez, quand je prends la parole. J'assume mes responsabilités. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) J'assume donc tout à fait les propos que j'ai expri...
suppléante. Si vous citez des chiffres, il faut tous les citer. Je ne conteste pas les vôtres, mais je rappelle que les infirmières spécialisées en anesthésie-réanimation ont fait l'objet d'une revalorisation en 2002, sous le gouvernement Jospin, lorsque Mme Guigou était ministre de l'emploi et de la solidarité et M. Kouchner ministre délégué c...