Monsieur Mesquida, je comprends vos interrogations, mais nous avons bien veillé, dans la rédaction de l'amendement, à exclure du champ de l'interdiction les « fêtes et foires traditionnelles », c'est-à-dire celles qui se sont répétées plusieurs fois dans le passé.
Par ailleurs, nous avons prévu deux régimes d'autorisation : l'autorisation à proprement parler, qui doit être demandée au représentant de l'État pour toute nouvelle manifestation, préfet ou sous-préfet, et la simple déclaration, qui suffit pour les fêtes et foires traditionnelles.