Il n'est pas normal, comme cela s'est produit par le passé pour les activités politiques, que l'activité syndicale, nécessaire à la démocratie sociale de notre pays, soit financée par des détournements. Car prendre l'argent qu'une entreprise destine à ses salariés pour leur permettre de partir en vacances et d'avoir accès aux loisirs ou à la culture afin de financer des actions qui relèvent des syndicats n'est rien d'autre qu'un détournement. Là est le coeur du problème soulevé par la commission d'enquête. Cette omerta doit être brisée.
Que vous soyez étonné qu'un article rappelle que la loi doit être respectée, je le conçois, au plan juridique.