Que d'opportunités l'État actionnaire aurait pu saisir, notamment lors de la renégociation du contrat d'objectifs et de moyens pour 2011-2015 ! C'est en effet dans ce document que l'État indique ses prescriptions à France Télévisions. La réponse du ministre n'est donc pas recevable, à moins que nous dressions collectivement, à cette heure tardive, l'échec de la réforme audiovisuelle de 2009. Nous serions prêts à retirer cet amendement si vous faisiez avec nous le constat de cet échec.