Nous sommes bien d'accord. Mais nous reverrons cela la semaine prochaine, lors de l'examen du collectif budgétaire pour 2011.
À mon avis, l'euro-incompatibilité est un argument qui mériterait d'être levé. Nous aurions pu, de manière offensive, décider, dès ce soir, de ce taux de 2,1 % et avoir une vraie discussion avec Bruxelles. Il s'agit d'aider la presse écrite et la presse numérique à se développer. C'est le pluralisme de l'information et l'indépendance des médias qui sont en jeu à travers ce taux de TVA.
(L'amendement n° 134 est adopté.)