Monsieur le ministre, vous avez certainement calculé avec Bercy les dotations au plus juste, et l'on voit très bien ici que, lorsque l'on veut prélever sur des réserves ou des fonds prudentiels – vous comprenez que je fais allusion aux mutuelles –, il est très difficile de laisser filer un peu de sous lorsque l'on pense que ces réserves sont nécessaires.