Tout le monde est pour améliorer la sécurité dans les transports en commun, bien évidemment. Mais cet article est en réalité un palliatif au manque effectif de policiers, comme le prouve l'exposé des motifs de l'amendement qui a introduit cet article dans le projet de loi : « les effectifs dont disposent les services de police ne leur permettent pas toujours de se déplacer pour venir chercher eux-mêmes les contrevenants ».
(L'amendement n° 184 n'est pas adopté.)