Je constate, monsieur Urvoas, que vous voulez qu'il y ait, partout, systématiquement, des malaises dans la police.
L'an dernier – vos collègues députés s'en souviennent certainement – vous annonciez l'immense malaise de la police. Je vous avais donné rendez-vous après les élections professionnelles : si vous aviez eu raison, ce que je ne souhaitais évidemment pas, le paysage syndical aurait été absolument bouleversé ! Ce big-bang n'a pas eu lieu : il y a au contraire une stabilité quasi-parfaite.
Vous n'avez donc pas été entendu, à moins que votre analyse sur ce point n'ait pas été juste.
En revanche, sur le second point, vous avez raison : vous évoquez votre souhait de visiter l'INPS en tant que député de la nation. Je n'ai absolument aucune opposition de principe à une telle visite, et je veillerai donc naturellement à ce que vous puissiez vous y rendre.