Madame la ministre, l'utilisation de technologies de filtrage ou de reconnaissance des contenus représente une intrusion dans la vie privée des citoyens qui ne saurait être tolérée, ni pour faire respecter les droits d'auteur, ni – je dirais même encore moins – pour protéger les intérêts financiers des majors. Cette surveillance généralisée, personne n'avait osé la mettre en place. Vous, si ! À notre grande surprise, il faut le dire. Et dans le cadre d'une loi sur la culture, qui plus est !
Les enjeux sont tels qu'ils nécessitent, il est vrai, ces mesures d'exception : permettre aux amis du Président…