Madame la présidente, madame la rapporteure, mesdames, messieurs, puisque nous arrivons à la conclusion de ce débat, je voudrais d'abord remercier les membres de l'Assemblée nationale pour leur participation utile. Il s'est dit des choses précieuses, intéressantes, sur un enjeu essentiel de la stratégie du Gouvernement en matière de réduction des déficits publics, à savoir l'objectif intangible de revenir à 6 % l'année prochaine. Pour 2013, nous avons pour but de revenir au niveau de déficit d'avant la crise et nous avons fixé un objectif de retour à l'équilibre budgétaire autour de 2016. Dans cet esprit, les pouvoirs publics portent un regard exigeant sur la dette sociale. Ajouter la question des 130 milliards a supposé, de la part du Gouvernement, une réflexion globale.
Personne n'aurait souhaité porter en bandoulière, avec fierté, l'allongement de la durée de vie de la Caisse d'amortissement de la dette sociale. Personne n'aurait voulu en faire un dogme, l'ériger en idéologie. Je dis cela en réponse à Jean-Luc Warsmann.