Il faudra, bien sûr, s'interroger sur l'exposition au risque de la CADES, qui s'intensifie toujours après les reprises de dettes, compte tenu de l'importance des refinancements à court terme nécessaires.
Je reste par ailleurs très inquiet car les déficits futurs de l'assurance maladie ne sont pas traités. Or les projections les situent à 23 milliards d'euros pour 2012 et 2013. Nous devrons donc réviser le panier de recettes à cette échéance, compte tenu des faiblesses intrinsèques que j'ai évoquées plus haut.
Mes chers collègues, ce texte ne nous enthousiasme pas tous.