de la commission des affaires économiques. Sur le fond, on ne peut pas désapprouver les déclarations de principe que vient de faire M. Chassaigne. Mais ce n'est pas en additionnant les taxes que l'on réglera le problème. Une partie de ces amendements ne relève pas de notre texte, notamment ce qui concerne la façon dont la France va défendre la politique agricole commune. Quant à l'amendement n° 458 , qui entend lutter contre la spéculation, qu'elle soit financière ou qu'elle concerne les matières premières agricoles, il est satisfait par l'action du Président de la République. Avis défavorable.