Rappelons, une fois encore, l'évolution de la philosophie européenne en la matière.
Non seulement il y a eu l'arrêt de la Cour de justice des communautés européennes, mais le commissaire Michel Barnier a précisé, en février dernier, lors d'un débat au parlement européen, qu'il allait lancer une réflexion, un livre vert, tout en demandant aux États de s'engager sur la voie d'une coopération contre la criminalité transfrontalière et contre l'addiction qu'il a identifiée comme un risque majeur en matière de paris en ligne.
Il est donc nécessaire d'encourager cette coopération transfrontalière entre les États membres. C'est le sens de notre amendement : il vise à permettre à l'ARJEL de remplir pleinement cette mission, de travailler avec les autorités similaires des autres États membres.