Excusez ma déformation médicale… (Sourires.)
Si, comme nous le pensons, les digues risquent de céder rapidement, il faut pouvoir réagir. En Italie, la filière équine s'est effondrée en l'espace de quatre mois. En Belgique, il n'y a plus une seule course. L'Angleterre, quant à elle, est plus laxiste, à telle enseigne que trois courses sur quatre s'y déroulent dans des conditions qui ne sont pas idéales.
Monsieur le ministre, je souhaiterais donc que, si les choses dégénèrent – ce qui peut arriver –, vous vous engagiez à ce que ce délai de dix-huit mois soit raccourci, à votre demande ou à celle du Parlement.