Monsieur le rapporteur, monsieur le ministre, je me rappelle un temps où vous étiez pour la transparence – mais à une condition : c'était de le dire en russe ! (Sourires.)
Dès qu'il faut le dire en français, cela ne marche plus ! Vous le savez bien : la fameuse liste n'est pas complète, et le Gouvernement, qui avait promis de faire des listes autonomes, n'a rien fait du tout. Je vous laisse apprécier les suites données à l'affaire du Liechtenstein, ou celles qui n'ont jamais été données à nos relations contentieuses avec la principauté de Monaco.
Monsieur le rapporteur, vous êtes, je le comprends bien, en mission, et l'histoire a montré que vous aviez le sens du devoir.