Je connais votre investissement sur ce sujet, monsieur le rapporteur, et je salue votre compétence. Pour autant, nous devons respecter les intérêts des uns et des autres. En l'occurrence, ce qui est en cause, c'est notre rapport avec la jeunesse, ces huit millions d'adolescents qui sont potentiellement concernés.
Je souhaiterais, madame la ministre, avoir des éléments de réponse très précis à mes questions. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)