C'est un débat de fond qu'il faut absolument avoir. Patrick Ollier tient un raisonnement dont nous avons l'habitude, qui consiste à demander d'accepter une perte de ressources au nom d'un afflux de richesses. Le problème, c'est que, dans ce type de raisonnements, la perte est certaine tandis que la ressource est aléatoire.