Tout cela est très révélateur de la mauvaise façon dont ce texte a été rédigé et dont se déroulent les débats. Nous avions été un certain nombre à vous dire, en première lecture, que les sanctions que vous préconisiez étaient trop lourdes et qu'il fallait revenir à des peines plus raisonnables. Elles ont été modifiées au Sénat, puis, en sens inverse, par la commission. Et vous nous expliquez aujourd'hui qu'il faut revenir à une peine d'un an, alors que, lorsque nous disions que trois ans, c'était trop, vous souteniez le contraire !