Je vous en prie, faites un effort : montrez que « le temps de la réflexion et de la concertation » n'est pas, dans votre bouche, une vaine formule. Il n'y a pas de honte à reconnaître que l'on a commis une erreur. Au contraire, on se grandit en reconnaissant ses erreurs. Grandissez-vous donc, monsieur le secrétaire d'État, et tenez compte de nos observations et de nos propositions. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)