Il traite du même sujet. Nous estimons que l'idée est bonne. Et ce n'est pas parce qu'elle est compliquée à mettre en oeuvre qu'il faut y renoncer. C'est pour cette raison que nous ne nous sommes pas associés à l'amendement de Mme de La Raudière. Par ailleurs, nous préférons notre rédaction à celle du rapporteur, qui envisage que ce dispositif soit mis en oeuvre seulement à titre expérimental. Pour notre part, nous souhaitons qu'il soit pérenne et mis en place dans l'ensemble des établissements.
Pour ce faire, le Gouvernement pourrait préalablement travailler sur la question suivante. Le texte garantit 17 000 points de contact : cela veut-il dire qu'en cas de défaillance d'un commerçant ou de renoncement d'une agence postale communale parce que la commune ne souhaite plus abonder, c'est La Poste qui prend le relais pour garantir le maintien de ces 17 000 points de contact ? Monsieur le ministre, c'est là une vraie question.