Je veux compléter les propos de M. Emmanuelli.
Le marché des transports routiers est aujourd'hui l'un des plus concurrentiels, largement au-delà de nos frontières.
Certes, M. Emmanuelli a raison de souligner que cela ne relève pas simplement de la responsabilité du Gouvernement, mais il y a une concurrence tellement infernale, avec du dumping horaire, que si l'État n'est pas derrière les transporteurs routiers, c'est toute une filière qui disparaîtra.
(L'amendement n° 402 est adopté.)