Non, vous avez seulement manifesté votre scepticisme ! Mais je vous invite, mes chers collègues, à réfléchir, car vous ne connaissez pas la réalité des maladies professionnelles et des accidents du travail. Vous ne les avez jamais vécues ; moi, je les connais, comme des millions d'autres, et pas seulement les ouvriers à la chaîne ! Aujourd'hui, ces problèmes concernent des employés, des cadres et des techniciens.
Un dernier mot, monsieur le président. (Sourires sur les bancs du groupe UMP.) Oui, je sais, tout cela vous fait rire : vous avez de bonnes places, vous ne risquez rien, vous recevez de bons soins, vous êtes de bons bourgeois… (Exclamations sur quelques bancs du groupe UMP.)