Nous aussi, monsieur le secrétaire d'État, nous sommes très favorables aux services à la personne. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Ils sont un incontestable succès, mais le problème n'est pas là. Les crédits que nous supprimons n'ont pas été utilisés, l'ACOSS l'a constaté. Nous faisons simplement de la bonne gestion comptable. Il ne s'agit en aucun cas de remettre en cause les services à la personne. Je ne peux pas vous laisser dire cela !