J'en finis, monsieur le président.
Rien ne justifie le maintien de cet avantage. L'INSEE a même estimé à 1 % l'augmentation globale du coût des repas depuis l'entrée en vigueur de la baisse de la TVA à 5,5 %. Le bilan de cette mesure dont le secteur profite depuis juillet dernier est donc négatif. Cette addition salée pour les contribuables – 2,5 milliards d'euros, auxquels s'ajoute une subvention par emploi extrêmement coûteuse – justifie que nous revenions en arrière, ne serait-ce que sur un avantage qui ne coûte que 150 millions d'euros, d'autant que le rapport prix-avantage pour les salariés est mauvais et que leur rémunération demeure dramatiquement basse.
(L'amendement n° 13 deuxième rectification n'est pas adopté.)
(L'amendement n° 242 n'est pas adopté.)