Cet amendement est particulièrement pertinent car, au-delà des arguments développés par notre collègue, il faut indiquer que, si le temps partiel subi touche 17,5 % de la population, ce sont à 80 % des femmes. Cette trappe à bas salaires crée des situations de précarité dramatiques pour les femmes et développe une inégalité professionnelle entre les hommes et les femmes qui est parfaitement inadmissible. Cet amendement est, à ce double titre, 40 000 fois opportun.