Ces indicateurs doivent être objectifs et s'appliquer au public comme au privé. Nous devons, à cette occasion, réaffirmer la nécessité d'une prise en charge universelle, adaptée à la situation de chacun.
C'est la raison pour laquelle le débat sur le « risque dépendance » est plus que jamais nécessaire.
Enfin, au-delà du débat financier, qui nous importe aujourd'hui, nous ne pourrons sans doute pas ne pas avoir, après la crise, un grand débat national sur la prise en charge médicale et médico-sociale, pour répondre à des questions simples. Quels sont nos besoins ? Comment les finance-t-on ?
Après cette crise, rien ne sera jamais plus comme avant. Vous avez, madame la ministre, doté notre système d'outils performants. Sachons nous en servir pour offrir à nos concitoyens un système de santé nouveau, solide et accessible à tous. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)