La suite ne m'a pas donné tort.
Dans le contexte de crise économique qui durait depuis fort longtemps mais que vous ne vouliez pas voir et que vous avez aggravé à l'été 2007, plus de deux mois après le coup de tonnerre de septembre 2008, vous fondiez vos prévisions sur une croissance de la masse salariale du secteur privé de 3,5 % pour 2009 – alors qu'elle diminuera de 2 % – et de 4,6 % chaque année de 2010 à 2012. On en reste songeur !