Les projets alternatifs que nous proposions n'étaient pas destinés à « protéger » l'un ou l'autre, quel que soit son poids politique ou son appartenance, mais à essayer de tenir compte des spécificités des circonscriptions, ces entités dont beaucoup ont une histoire, avec leur population, leur topographie, leur dynamisme économique, mais aussi avec les hommes politiques qui les ont animées, personnalisées, voire symbolisées.