À voir tant de contorsions, j'en viens à craindre pour votre santé ! Je conviens que votre posture est des plus désagréables. Toutefois, il serait sans doute de bonne méthode d'oublier un peu l'agitation qui règne sur certains bancs : cela vous éviterait de vous enfoncer comme hier soir, après l'offensive de M. Copé et de quelques autres ! Mais voilà que vous revenez à la charge sur le même créneau, pour défendre l'indéfendable. Il fut un temps pas si lointain où vous dénonciez vigoureusement les injustices. ((Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)